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Rapport analytique sur la passation des marchés en Côte d’Ivoire

Document de la Banque mondiale et de la Banque Africaine de Développement
10 Juin 2004

29 novembre 2018

Entre 1994 et 2002, la part des marchés publics a représenté 3.2 à 4.3% du Produit Intérieur Brut (PIB). Plus précisément, les marchés publics ont connu depuis 1994 une évolution croissante en volume. Ainsi, l’activité de passation des marchés publics a généré entre 1994 et 2002, des volumes de commandes publiques allant de 62 milliards a 208 milliards de FCFA(ce volume atteint 308 milliards de FCFA lorsque l’on y intègre les conventions de concessions)
Les marches de gré à gré ou par entente directe sans appel a la concurrence représentent la méthode de passation des marchés la plus fréquemment utilisée en volume entre 1998 et 2002. L’appel d’offres ouvert constitue le deuxième méthode de passation des marches la plus utilisée légèrement derrière les marchés de gré a gré. Les appels d’offres restreints (i.e.,les candidats sont directement invités a présenter une offre sans qu’il y ait publication d’ avis d’ appel d’ offres) ne représentent qu’un faible volume des marchés passés entre 1998 et 2002. Par ailleurs, la répartition par nature des travaux laisse clairement apparaître le fait que les travaux constituent en volume la majorité des marchés publics passés, suivi ensuite généralement par les fournitures puis les prestations de services.


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